Iamais femme ne sera De mon cœur maistresse, Et de moy ne iouyra, Fust-ce vne lucresse: I'ayme trop mieus viure ainsi, De me contenter de moy, Et de ma fortune, Que de me rendre en esmoy, De femme importune. Si vous luy auez promis, D'estre lun de ses amis: Elle dira tout soudain, Qu'elle en est contente: Puis vous laira pa desdain, Tant est inconstante. |
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